Ami miroir, jouer, se tromper, forêt, ruisseau en crue et résidence de création
Carnet orange 2e partie
La semaine passée, on a tourné les pages ensemble de la 1ère partie de mon carnet orange, terminé récemment.
Envie de voir la 2e partie ? ;)
(Pour ceux qui lisent ce billet directement dans votre boîte courriel, cliquez ici pour voir la vidéo)
Le magnifique et kick-ass auto-collant de la page couverture du carnet est de la magnifique et kick-ass illustratrice Aurélie Grand
(et à l’arrière, c’est un rescapage de papier d’emballage cadeau pas réutilisable trop mignon)
Musique : DobaCaracol – Le calme-son
7 au 9 avril
Je suis toujours en résidence de création, au Sea Shack pour travailler sur mon livre À l’enverre.
Je vous copie-colle ici le contenu « Locomotive » de la page du projet, car c’est ce qui s’est passé dans les derniers jours et pour ceux qui ne l’ont pas lu, je crois que ça pourra vous intéresser :)
(pour celleux qui l’ont DÉJÀ LU, vous pouvez passer directement au SUJET SUIVANT EN CLIQUANT ICI)
Locomotive
La locomotive est lancée !
Je continue d’avancer les couleurs des pages finales du livre :)
PAS AVOIR PEUR DE REDESSINER
Il y a des cases plus faciles, d’autres qui demandent plus de travail et que je dois re-dessiner à quelques reprises et parfois fusionner les parties préférées ensemble sur photoshop :P
Je suis parfois trop perfectionniste. Ce qui me dérange (vraiment), sur le coup, pendant que j’ai le nez beaucoup trop dedans, me dérange rarement autant plus tard (et parfois plus du tout)
J’apprends à remettre à plus tard, les modifications, voir si le recul fera que j’oblierai pourquoi je n’aimais pas l’image.
Mais je ne réussis pas toujours à être aussi sage :P
COMMENCER PAR LE PLUS FACILE
Il y a aussi les cases les plus complexes, que je remets à plus tard, pour quand j’aurai assez de courage pour plonger dedans. Et que je serai assez « réchauffée » par les autres pages plus simples)
Par exemple, pour ce livre, je suis complètement terrorisée de faire la première page ahah
Il s’agit d’une page où on voit l’environnement du personnage, bordélique. Il y a une composition complexe) à faire et beaucoup de détails à dessiner.
(Je pensais que ça serait plus simple à faire, une fois les autres pages avec du bordel de dessinées, mais en fait, c’est plus dur, car maintenant, ça doit être raccord avec les autres pages. Mais j’ai confiance que je vais finir par trouver comment la faire, plus tard.
OBJECTIFS
C’est important de se fixer des objectif, ça aide à voir clair dans ce qu’il y a à faire et ça donne le petit stress/élan pour se botter les fesses et commencer :)
J’ai calculé combien de pages je devais réussir à faire chaque jour, pour réussir à terminer le livre, d’ici mon départ.
58 pages / 12 jours de couleurs = à peu près 5 pages par jour.
C’est mon objectif de départ.
La première journée des couleurs, j’avais réussi à faire 4 pages et demie, des pages plus facile, oui, mais c’est peut-être jouable ?
Le lendemain, grosse journée de dessin (et d’éclipse) et je réalise que l’objectif est finalement BEAUCOUP trop ambitieux ahah
Je réajuste à 3 pages par jour, plus réaliste (pour mes capacité et le respect de mes limites et ma fatigue), mais ça garde le défi quand même.
(Mais le lendemain, je n’arrive à faire qu’une page et demie)
J’apprends à lâcher prise sur le nombre de page finales et de continuer à avancer. Je vise donc 3 pages par jour, mais si j’en fais moins, c’est pas la fin du monde.
Je sais de toute façon que je devrai revenir en résidence pour la 2e partie du livre.
FAIRE DES DÉCOUVERTES
Quelques jours plus tôt, dans ma procrastination de couleurs, j’avais testé des mélanges de matériel aquarellables avec la superposition de matériel humide, pour faire de nouvelles couleurs.
C’était pas TANT de la procrastination, finalement. Pour dessiner mon chat, j’ai utilisé cette technique et ça donne de quoi de vraiment l’fun !
SE RÉCOMPENSER
Quand je finis une page, j’ai un petit rituel, je rajoute mes x, dans mon tableau d’avancement. (et je mets en jaune sur mon storyboard)
Et ça fait VRAIMENT DU BIEN.
C’est comme ma carotte, mon nanane, mon BRAVO ! :P
Et visuellement, je vois que ça avance.
10 avril – Forêt
Un des trucs que j’ai le plus de mal à dessiner, dans la vie, c’est des forêt (edans l’ensemble et tout ce que ça contient ahah)
Tous les jours, je vois la forêt, derrière la porte patio et je trouve ça tellement beau. Les ombres, sur la neige, la lumière qui perce, à travers la canopée.
Je me dis que je vais la dessiner. Tous les jours, je me dis ça.
Et aujourd’hui, je le fais !
Je décide d’essayer d’y aller en 3 matériels/couleurs, avec du pastel en pan turquoise foncé, un Neocolor2 vert foncé et un gelstick brun pâle, car je vais pouvoir faire facilement un fond foncé, pour l’ombrage et effacer ensuite les endroits de lumière.
Je commence le premier arbre et c’est pas long que je réalise que je me suis embarquée dans un moyen projet. Tsé, c’est déjà tellement long et complexe faire UN arbre. Là, je vais vraiment faire une FORÊT ?!?
J’essaie de simplifier ce que je vois. Impossible de dessiner toutes les formes et les épines des épinettes. J’y vais avec le contour.
Vous vous souvenez l’exercice sur les contours ? Dans « Explorer l’observation » et « Dessin d’observation prise 2« . Ça m’aide vraiment avec les arbres et autres choses difficiles à dessiner. Ça vaudrait la peine d’en faire un exercice à part entière.
Je prévoyais aussi superposer le brun pâle et le Neocolor, pour les arbres, mais finalement j’ai laissé faire le brun. (Il ne subsiste qu’une petite ligne où j’ai fais : Heu NON)
Sur le coup, je trouve que l’ombre n’est pas assez contrastée. J’aime le dessin, mais je voulais vraiment jouer avec le jeu d’ombre et j’ai choisi le mauvais matériel. (Quelques jours plus tard, finalement, je trouve ça ben correct)
Je vais peut-être refaire un autre essai, plus tard, si je ne suis pas trop prise dans mon livre :)
Il vaut mieux quand même que je j’économise mon temps de création et mes doigts (mal aux doigts) pour le livre sur lequel je suis venue travailler.
SKETCHBOOK
Ce n’est pas comme cet automne, où je travaillais sur l’écriture et que j’avais besoin d’échappatoires créatives, pour me sortir de mon cerveau survolté.
Je pouvais prendre tout plein de temps pour aller créer dans mon carnet, dessiner des bateaux (snif snif) et jouer avec les couleurs pour essayer des choses, avec les personnages.
(C’est tout sur la page du projet, dans l’onglet de la 1ère résidence, si vous voulez voir les bateaux et les personnages. J’ai aussi fait une page, regroupant les dessins de bateaux)
L’essentiel, c’est que je dessine quand même tous les jours :P Mais pas dans mes carnets, pendant un rush de dessin. C’est donc possible que ce dessin de forêt soit le seul dans mon carnet, pendant le temps de la résidence.
ÉCRITURE
J’avais aussi réussi, ces derniers jours à repartir la machine et écrire chaque jours, pendant 5 jours consécutifs. Mais comme j’ai de la douleurs aux mains, je vais essayer de repartir la routine plutôt à mon retour. (Si l’inspiration me prends, je vais la noter pareil, par exemple, mal aux mains ou non :P )
10 avril -S’inspirer des maisons
Je continue d’avancer mon livre, case par case, page par page :)
Ça avance moins vite que prévu, mais ça avance, c’est l’essentiel. C’est évident pour moi, présentement, que les couleurs du livre prendront au moins une autre résidence complète.
Je suis rendue à un endroit, dans mon livre, où il y a un déplacement.
Pour faire la maison du prochain personnages, je me dis que la maison bleue que j’occupe, pour la résidence, serait un bel exemple, donc je sors en pyjama dehors (sous le regard un peu éberlué des voisins, car il est 14h) et je prends quelques photos.
Je ressors les dessins de maison, que les élèves et moi avons fait pendant les ateliers scolaire. Je tente une première case.
C’est comme mes tests de couleurs, que j’aimais, mais c’est trop intense, pour juste une case. Ça serait joli pour une page complète, mais en BD, je pense qu’il ne faut pas juste penser à la case, mais à la relation et l’harmonie entre les cases, avec la page complète et aussi avec la page d’à côté.
Et ça fait pas beau, alors j’y vais plus simple :)
(très contente d’avoir recommencé, c’est beaucoup mieux)
Et maintenant, la maison bleue !
(Je vais finalement la refaire, car ça faisait trop coco de pâques, toutes les couleurs de la page de droite avec celles de la page de gauche. Mais toute seule, de même, je la trouve mimi, ma maison bleue :P )
Ami miroir
Aussi, j’ai trouvé une façon INCROYABLE de déjouer la procrastination et la peur de commencer.
(je dis que j’ai trouvé, mais ça existait déjà, hein ! Je devrais plutôt dire « J’ai appliqué ».
Ça s’appelle du Body mirror double (ou de quoi comme ça), c’est un truc, pour les TDAH, quand t’as du mal à démarrer ou faire un projet ou une tâche que tu remets à plus tard depuis l’éternité).
Comment ça marche ?
1- TON DOUBLE
Ça consiste à trouver un ami (ton double), qui a aussi une tâche à faire. Vous vous rejoignez en personne ou si comme moi, vous habitez loin et/ou vous êtes casaniers, vous faites ça en vidéoconférence. (Mais c’est moins écolo, donc peut-être pas tous les jours, pour la planète).
2- OBJECTIF
Vous papotez un peu, parce que ça fait du bien, mais surtout, vous nommez votre objectif de la rencontre.
(La rencontre peut être de 45 minutes seulement, si c’est le temps que vous avez. Ou plus, ou moins)
Et ensuite, vous commencez, en laissant la caméra ouverte.
3- COMMENCER
(Vous pouvez fermer le micro, au besoin, ou juste mettre des écouteurs, donc vous avez votre bulle + les sons de travail de l’autre)
Ça fait le même effet que le co-working, sauf que vous avez fixé d’abord un objectif.
Ça mets juste la pression parfaite pour pas procrastiner (car quelqu’un d’autre pourrait vous voir) et le besoin de petits échéanciers
Ça comble le besoin de « kick » d’avoir un petit échéancier (45 minutes)
Ça déjoue beaucoup de bloqueurs.
Et ça aide surtout à surmonter le PLUS GROS OBSTACLE de la création : se mettre en route (commencer)
Veux-tu être mon double ? :P
(J’pense qu’avec tout ce que je procrastine, j’en aurai jamais trop.)
Alors avec des amies artistes, on s’est fait une rencontre et ça a formidablement bien marché !
Mon objectif était de faire une page de mon livre.
Finalement, ça été juste 2 cases, mais l’essentiel, c’est que j’étais LANCÉE ! (et j’ai continué ensuite la page)
11-12 avril – Continuer, jouer
Je continue d’avancer, j’ai des plus petites journées, où je n’arrive à faire qu’une page, et ensuite, je panique en faisant mes calculs (car je ne veux pas avoir à retarder le projet d’une 4e saison/résidence) et je retourne aux 3 pages/jour, quitte à me coucher plus tard. Mon objectif est maintenant de 2,5 pages par jour. Donc ça me permet de faire des plus ou moins grosses journées.
Ce qui me permet de faire ça, c’est que j’ai droit à l’erreur.
Je commence et j’essaie. Si ça marche, yé !
Si je fais des dessins pas beaux ou manqués (presqu’à chaque case ou 2 cases ahah), je recommence la case, ou je recommence seulement la petite partie manquée (et ensuite, je peux la refusionner, avec du gossage dans photoshop).
J’ai toujours en dessous, mes lignes de repères, mon croquis, en transparence avec la table lumineuse.
Mais comme mes croquis ne sont pas du tout détaillés et précis, je peux garder la spontanéité d’improviser et le plaisir de créer. (plutôt qu’avoir l’impression d’avoir déjà tout dessiné)
Avec les crayons que j’utilise, aussi, je peux jouer avec les aplats (les formes, avec des feutres ou du pastels) et les lignes (avec des crayons de bois ou mon crayon de plomb). Je me laisse le droit de faire un peu n’importe quoi, car c’est pas grave, si je me trompe, je recommence.
Yé !
(Bon, y’a des pages plus difficiles, quand même, où j’ai pas encore trouver de solution comment les arranger, mais en général, ça avance bien)
LAISSER LE BORDEL ÊTRE
J’ai aussi complètement perdu le contrôle des crayons sur mon espace de travail. Comme j’utilise plusieurs matériel, en même temps, j’ai besoin de les avoir sous la main, mais je me sens un peu envahie aha
Et à chaque fois que j’essaie de les ranger dans un pot ou un plateau, JE NE TROUVE PLUS RIEN
Et ça me fait perdre mon flow. Donc vive le bordel et les crayons libres !
PERSONNAGES
Je suis contente, j’ai réussi à intégrer 2 personnages, dans le livre, qui sont inspirés directement des dessins d’enfants :D
J’aurais jamais pu faire des personnages aussi singuliers, drôles et originaux, si je n’avais pas eu accès à ces magnifiques et inspirants dessins d’enfants :D
(pour voir tous les dessins d’enfants et comment ça m’a inspiré, référez-vous à l’onglet 1ère résidence et à « S’inspirer des dessins d’enfants » et « Nouveaux personnages » de la page du projet)
13 avril – Ruisseau castor
Petite balade, près du ruisseau castor.
Ou je devais plutôt dire le Ruisseau-castor-RIVIÈRE-FURIEUSEMENT-EN-CRUE
Le ruisseau peine clairement à contenir ce raz-de-marée.
J’essaie de le dessiner, mais ÇA VA VITE, ça bouge sans arrêt, c’est étourdissant.
Je tente de suivre les courants, les éclaboussures.
Il y a un pauvre bouleau qui réalise de façon un peu traumtique qu’il a poussé beaucoup trop proche du cours d’eau.
Le flux d’eau puissant rencontre un obstacle, une butte, qu’il enjambe, englobe.
Qu’est-ce qu’il y a dessous ? Je vais devoir repasser cet été pour en avoir le coeur net.
À travers le son assourdissant du courant, je crois entendre des bruits de rochers immenses qui bougent et se cognent. C’est peut-être eux, qui vivent le plus gros bouillon de leur vie ?!
(Attention aux oreilles, ça gronde FORT)
(Pour ceux qui lisent ce billet directement dans votre boîte courriel, cliquez ici pour voir la vidéo)
14 avril – Chute du Ruisseau-Castor en furie
Je suis retournée me promener près du ruisseau Castor, mais plus bas, plus près du fleuve (ça fait drôle de dire fleuve, plutôt que mer. C’est golfe peut-être plutôt ?)
J’était allée à cet endroit, il y a quelques jours et je voulais voir la différence avec la crue.
Puis, il y a une différence INCROYABLE.
Il y a à peu près dix fois plus d’eau que l’autre jour quand je suis venue. C’est vraiment impressionnant.
J’essaye de prendre un petit chemin pour remonter la … le … (j’ai toujours envie de l’appeler la rivière parce qu’elle est tellement grosse, mais c’est un ruisseau, mon Dieu!)
Donc j’ai pris un petit chemin pour remonter le ruisseau, puis je suis tombée sur une sorte de petite crique avec une chute.
UNE CHUTE EN FURIE.
(Pour ceux qui lisent ce billet directement dans votre boîte courriel, cliquez ici pour voir la vidéo)
(Le vidéo rends pas autant la fureur et l’énergie, mais vous voyez un peu le topo)
DEVINEZ QUOI ?
J’ai eu envie de la dessiner.
Sauf que il y avait beaucoup de choses à dessiner. C’était très beau.
Les arbres en premier plan, les rochers, la chute, les remous, la bruine, le courant, l’autre rive cachée dans l’ombre, l’eau qui s’échappe de la chute en bas à gauche, avec comme un petit étang, les roches et la mousse et la végétation autour.
FAC je me suis un petit peu perdue dans « le autour ». :P
(un belle perdition, par exemple)
J’ai essayé de rattraper ça en fonçant autour de la chute pour que ça ressorte mieux, que ça reste le focus principal. J’allais aussi fonçir les arbres et l’avant-plan, pour ne garder que la chute, mais je les trouvais beaux, juste en contour, comme ça.
J’ai lâché-prise sur le focus de départ.
J’pense que le plaisir que j’ai eu à dessiner les arbres efface un peu le peu d’espace qu’il restait pour l’eau en furie.
Quand j’ai fermé le carnet (parce que j’avais fini le dessin, la mine de mon crayon était rendue au bois et mes mains complètement gelées), ben je l’ai rouvert.
Je me suis dit : Heille ! C’est LA CHUTE que je voulais dessiner.
Je VAIS dessiner la chute.
Pour m’aider à faire abstraction de tout ce qu’il y avait autour, je ne juste pas dessiné le autour.
J’ai dessiné vraiment juste la chute et j’ai essayé de saisir le mouvement
Un peu en vain, parce que je pense qu’une chute en crue, c’est pas mal la définition de quelque chose d’insaisissable.
J’ai encore envie de venir dessiner les remous demain, en espérant qu’ils auront encore la même vigueur.
Bon, je sais que j’avais dit que je ferais probablement pas de nouveau dessin dans le carnet, le temps de la résidence, pour me concentrer sur mon livre. Mais j’pense que j’ai tellement ressenti de la tristesse, à ce moment-là, que quelque chose s’est décidé, en moi, de PAS ÉCOUTER ce que je venais de décider.
C’est la deuxième fois en deux jours que je vais dessiner dehors, depuis. Puis ça a un côté VRAIMENT enivrant de pouvoir recommencer à dessiner en plein air. (même si c’est pas encore chaud chaud pour les doigts)
Je pense que dessiner en observation en plein air, ça vient combler quelque chose de différent que lorsque je travaille sur un livre fait que ben je suis vraiment contente.
J’espère quand même qu’il va faire juste un petit peu plus chaud pour les mains parce que j’ai d’autres projets de dessin de rochers et caps magnifiques et roches extraterrestres pour les prochains jours. Inch’allah !
Exercice CRÉATIF de la semaine – Contour.
Devinez quoi ? Toujours pas d’exercice cette semaine. Je suis plate, hein ? :P
Mais j’pense que si t’essayes de dessiner quelque chose (un arbre, une chaise, un buisson, une rampe d’escalier), en faisant juste les contours, tu peux avoir vraiment du fun (ou suer de la tête) et faire travailler une partie de ton cerveau qui est pas habituée.
Pour t’aider, tu peux retourner voir les explications de l’exercice du contour à l’intérieur de ces 2 exercices créatifs : « Explorer l’observation » et « Dessin d’observation prise 2« .
Comme je disais plus haut, j’ai bien envie de dédier un exercice créatif à dessiner et voir les contours des choses, mais là, j’ai pas le temps :)
Pour voir tous les exercices créatifs, les faire ou les refaire :
Laisser un commentaire